Clarendon, in his Diary, says that the majority was eleven. But Narcissus Luttrell, Oldmixon, and Tindal agree in putting it at fourteen. Most of the little information which I have been able to find about the debate is contained in a despatch of Don Pedro de Ronquillo. "Se resolvio" he says, "que el sabado, en comity de toda la casa, se tratasse del estado de la nation para representarle al Rey. Emperose por acusar al Marques de Olifax; y reconociendo sus emulos que no tenian partido bastante, quisieron remitir para otro dia esta motion: pero el Conde de Elan, primogenito del Marques de Olifax, miembro de la casa, les dijo que su padre no era hombre para andar peloteando con el, y que se tubiesse culpa lo acabasen de castigar, que el no havia menester estar en la corte para portarse conforme a su estado, pues Dios le havia dado abundamente para poderlo hazer; conque por pluralidad de votes vencio su partido." I suspect that Lord Eland meant to sneer at the poverty of some of his father's persecutors, and at the greediness of others.
FN 424 This change of feeling, immediately following the debate on the motion for removing Halifax, is noticed by Ronquillo, FN 425 As to Ruvigny, see Saint Simon's Memoirs of the year 1697:
Burnet, i. 366. There is some interesting information about Ruvigny and about the Huguenot regiments in a narrative written by a French refugee of the name of Dumont. This narrative, which is in manuscript, and which I shall occasionally quote as the Dumont MS., was kindly lent to me by the Dean of Ossory.
FN 426 See the Abrege de la Vie de Frederic Duc de Schomberg by Lunancy, 1690, the Memoirs of Count Dohna, and the note of Saint Simon on Dangeau's Journal, July 30, 1690.
FN 427 See the Commons' Journals of July 16. 1689, and of July 1.
1814.
FN 428 Journals of the Lords and Commons, Aug. 20. 1689; London Gazette, Aug, 22.
FN 429 J'estois d'avis qu', apres que la descente seroit faite, si on apprenoit que des Protestans se fassent soulevez en quelques endroits du royaume, on fit main basse sur tous generalement."-Avaux, July 31/Aug 10 1689.
FN 430 "Le Roy d'Angleterre m'avoit ecoute assez paisiblement la première fois que je luy avois propose ce qu'il y avoit a faire contre les Protestans."--Avaux, Aug. 4/14FN 431 Avaux, Aug. 4/14. He says, "Je m'imagine qu'il est persuade que, quoiqu'il ne donne point d'ordre sur cela, la plupart des Catholiques de la campagne se jetteront sur les Protestans."FN 432 Lewis, Aug 27/Sept 6, reprimanded Avaux, though much too gently, for proposing to butcher the whole Protestant population of Leinster, Connaught, and Munster. "Je n'approuve pas cependant la proposition que vous faites de faire main basse sur tous les Protestans du royaume, du moment qu', en quelque endroit que ce soit, ils se seront soulevez: et, outre que la punition du'ne infinite d'innocens pour peu de coupables ne seroit pas juste, d'ailleurs les represailles contre les Catholiques seroient d'autant plus dangereuses, que les premiers se trouveront mieux armez et soutenus de toutes les forces d'Angleterre."FN 433 Ronquillo, Aug. 9/19 speaking of the siege of Londonderry, expresses his astonishment "que una plaza sin fortification y sin genies de guerra aya hecho una defensa tan gloriosa, y que los sitiadores al contrario ayan sido tan poltrones."FN 434 This account of the Irish army is compiled from numerous letters written by Avaux to Lewis and to Lewis's ministers. Iwill quote a few of the most remarkable passages. "Les plus beaux hommes," Avaux says of the Irish, "qu'on peut voir. Il n'y en a presque point au dessous de cinq pieds cinq a six pouces." It will be remembered that the French foot is longer than ours. "Ils sont tres bien faits: mais; il ne sont ny disciplinez ny armez, et de surplus sont de grands voleurs." "La plupart de ces regimens sont levez par des gentilshommes qui n'ont jamais este ál'armee. Ce sont des tailleurs, des bouchers, des cordonniers, qui ont forme les compagnies et qui en sont les Capitaines.""Jamais troupes n'ont marche comme font celles-cy. Ils vent comme des bandits, et pillent tout ce qu'ils trouvent en chemin.""Quoiqu'il soit vrai que les soldats paroissent fort resolus a bien faire, et qu'ils soient fort animez contre les rebelles, neantmoins il ne suffit pas de cela pour combattre . . . . . Les officiers subalternes sont mauvais, et, a la reserve d'un tres peut nombre, il n'y en a point qui ayt soin des soldats, des armes, et de la discipline." "On a beaucoup plus de confiance en la cavalerie, dont la plus grande partie est assez bonne." Avaux mentions several regiments of horse with particular praise. Of two of these he says, "On ne peut voir de meilleur regiment." The correctness of the opinion which he had formed both of the infantry and of the cavalry was, after his departure from Ireland, signally proved at the Boyne.
FN 435 I will quote a passage or two from the despatches written at this time by Avaux. On September 7/17. he says: "De quelque coste qu'on se tournat, on ne pouvoir rien prevoir que de desagreable. Mais dans cette extremite chacun s'est evertue. Les officiers ont fait leurs recrues avec beaucoup de diligence."Three days later he says: "Il y a quinze jours que nous n'esperions guare de pouvoir mettre les choses en si bon estat mais my Lord Tyrconnel et tous les Irlandais ont travaille avec tant d'empressement qu'on s'est mis en estat de deffense."FN 436 Avaux, Aug 25/Sep 4 Aug 26/Sep 5; Life of James, ii. 373.;Melfort's vindication of himself among the Nairne Papers. Avaux says: "Il pourra partir ce soir a la nuit: car je vois bien qu'il apprehende qu'il ne sera pas sur pour luy de partir en plein jour."FN 437 Story's Impartial History of the Wars of Ireland, 1693;Life of James, ii. 374; Avaux, Sept. 7/17 1689; Nihell's journal, printed in 1689, and reprinted by Macpherson.
FN 438 Story's Impartial History.
FN 439 Ibid.